Avec un crédit auto, une personne se voit dans la possibilité d’acquérir la voiture de son choix sans devoir passer par une longue période d’épargne. La demande de ce prêt qu’elle soit effectuée auprès d’un organisme de financement ou d’un concessionnaire soulève plusieurs pièces justificatives avec des critères stricts.
Et dans la plupart des cas, ce sont surtout ces points qui sont soulignés. De leur côté, quels sont les droits ainsi que la sécurité des souscrits ?
L’organisme financeur
Avant de se prononcer comme un créditeur, l’organisme de financement doit se compter dans la liste des agents financiers. Ce qui implique qu’il doit être agréé et validé par la banque de France.
Ainsi, chaque taux et chaque modalité doivent se référer à une marge imposée par la Banque de France. Dans la mesure où le financeur présente des taux en dessus des normes en vigueur, il peut faire l’objet d’une dénonciation.
Le financement
D’après la loi Lagarde, un emprunteur peut demander un financement maximal de 75000€ dans la mesure de sa possibilité à rembourser. Pour ce propos, il jouit d’une durée de remboursement qui peut aller de 3 mois minimum jusqu’à 5 ans maximum. La durée est limitée afin d’éviter un surendettement. Un rachat est envisageable pour un crédit auto.
Le droit de rétractation
Étant un consommateur de service, la personne ayant sollicité le crédit bénéficie également du droit de rétractation. Même si le crédit est demandé en son nom et avec sa conviction, elle dispose quand même d’une possibilité de rétractation de 14 jours. Ce délai le préserve d’une décision défavorable par la loi Scivener du 1er mai 2011.
L’assurance emprunteur pour les éventualités
Enfin, pour protéger l’emprunteur d’un saisi de bien en cas d’incapacité à acquitter les mensualités, il se trouve dans le droit de souscrire une assurance emprunteur. Cette dernière s’assurera de payer le remboursement en cas d’invalidité due aux aléas de la vie.