Certains organismes de crédit demandent généralement au souscripteur un apport personnel correspondant à environ 10 ou 20% du montant global de l’opération financière.
La mise sur pied du crédit
Il convient de noter que les frais d’agence immobilière, dans le cas où il serait convenu qu’ils soient acquittés par l’acheteur, sont intégrés dans le coût. Le plan de financement du dossier intègre une série de simulations concernant la vie du crédit (échéancier, taux d’intérêt, durée, montant mensuel du remboursement, et bien plus encore) à base de documents justificatifs (échéancier fiscal, bulletins de salaire, livret de famille, et bien plus encore).
La signature définitive du contrat de vente doit être faite en présence d’un notaire, qui se chargera de récupérer par la suite l’acte de vente signé et l’acte de prêt. Ce n’est qu’après cette étape que les fonds seront débloqués.
La réglementation ne limite pas la durée d’un prêt immobilier bancaire. Toutefois, la hausse des prix de l’immobilier, ainsi que la prolongation de la durée de vie ont pour conséquence la prolongation de la durée des crédits, ce qui pousse de plus en plus d’individus à contracter des dettes pour des durées de plus en plus longues, qui peuvent parvenir jusqu’à 30 ans, voire même plus.
La durée moyenne se situe actuellement autour de 20 ans. Cependant, la durée réelle est largement plus courte et se situe autour de 12 ans, en raison de l’apparition de certains événements dans la vie qui admette une fin escomptée du remboursement (héritage, revente avec bénéfice du bien actuel, et bien plus encore) du crédit.
Il convient également de noter que plus la durée du prêt sera longue, plus grand sera son coût global pour le souscripteur, car les intérêts sont calculés à chaque échéance sur le montant restant dû.